mardi 2 juin 2015
Interview d'Anthony Le Rhun et Solenne Lescop
C&Choux, finalistes du concours Passeport pour la Franchise
Interview d'Anthony Le Rhun et Solenne Lescop
Pouvez-vous nous présentez votre activité et ce qui vous différencie de vos concurrents ?
Nous on est la pâtisserie C&Choux, donc on fait des pâtisseries à partir de petits choux et de gâteau autour de la pâte à choux. Donc on a des assortiments de petits choux comme nos concurrents ou confrères font les macarons et après on revisite les classiques de la pâtisserie avec cette pâte que l’on transforme comme on veut au fil de l’année, des saisons et de nos envies.
Pourquoi souhaitez-vous devenir franchiseur et quels sont vos atouts pour atteindre cet objectif ?
On souhaite devenir franchiseur, parce qu’au-delà de la passion pour la pâtisserie on a une autre passion, c’est l’entreprenariat, et on a créé avec Audrey avec cette marque C&Choux avec un profil de magasin qui est très sympa à duppliquer. On avait déjà cette envie là et puis ce sont les clients en magasins qui en rentrant et en achetant nous demande, où ils peuvent trouver nos autres points de vente. A force d’entendre cette question on s’est dit qu’on avait peut-être tapé dans le mile avec ce magasin qu’on a construit de nos petites mains et il y a peut-être quelque chose à faire avec le développement d’unité en succursale ou en franchise mais il est vrai que la franchise semble plus accessible en un premier lieu.
Quelle a été votre réaction quand vous avez su que vous étiez finaliste de Passeport pour la Franchise ?
On était très content, on a sauté de joie, on a crié et après on s’est mis à travailler pour rendre un dossier hyper carré. C’est dur, on est tellement passionné que synthétiser c’est assez compliqué, on a envie de tout expliquer.
Votre participation à Passeport pour la Franchise vous aura-t-elle aidée dans votre démarche pour devenir franchiseur ?
Je pense que ça va ouvrir plusieurs portes, je pense que ce projet va être amorcé par ce concours. Il y a quand même une mise en avant qui sera bénéfiques évidemment et même si on ne gagne pas, il y a peut-être des gens pour qui le projet va les intéresser, et seront prêt à nous accompagner. Dans tous les cas si on ne gagne pas, c’est notre souhait et on continuera dans ce sens-là.
Nous on est la pâtisserie C&Choux, donc on fait des pâtisseries à partir de petits choux et de gâteau autour de la pâte à choux. Donc on a des assortiments de petits choux comme nos concurrents ou confrères font les macarons et après on revisite les classiques de la pâtisserie avec cette pâte que l’on transforme comme on veut au fil de l’année, des saisons et de nos envies.
Pourquoi souhaitez-vous devenir franchiseur et quels sont vos atouts pour atteindre cet objectif ?
On souhaite devenir franchiseur, parce qu’au-delà de la passion pour la pâtisserie on a une autre passion, c’est l’entreprenariat, et on a créé avec Audrey avec cette marque C&Choux avec un profil de magasin qui est très sympa à duppliquer. On avait déjà cette envie là et puis ce sont les clients en magasins qui en rentrant et en achetant nous demande, où ils peuvent trouver nos autres points de vente. A force d’entendre cette question on s’est dit qu’on avait peut-être tapé dans le mile avec ce magasin qu’on a construit de nos petites mains et il y a peut-être quelque chose à faire avec le développement d’unité en succursale ou en franchise mais il est vrai que la franchise semble plus accessible en un premier lieu.
Quelle a été votre réaction quand vous avez su que vous étiez finaliste de Passeport pour la Franchise ?
On était très content, on a sauté de joie, on a crié et après on s’est mis à travailler pour rendre un dossier hyper carré. C’est dur, on est tellement passionné que synthétiser c’est assez compliqué, on a envie de tout expliquer.
Votre participation à Passeport pour la Franchise vous aura-t-elle aidée dans votre démarche pour devenir franchiseur ?
Je pense que ça va ouvrir plusieurs portes, je pense que ce projet va être amorcé par ce concours. Il y a quand même une mise en avant qui sera bénéfiques évidemment et même si on ne gagne pas, il y a peut-être des gens pour qui le projet va les intéresser, et seront prêt à nous accompagner. Dans tous les cas si on ne gagne pas, c’est notre souhait et on continuera dans ce sens-là.